QUI SONT-ILS ?

Témoignant de l'extraordinaire expansion de la Société du Sacré-CœurDepuis, l'AMASC fédère aujourd'hui 37 associations nationales dans le monde. C'est par leur intermédiaire que les anciens membres adhèrent à l'AMASC.

34 associations sont membres à part entière de l'AMASC, ce qui donne à leurs présidents le droit de les représenter et de voter en leur nom à l'Assemblée générale. 3 associations ont une situation particulière et sont de simples "amis de l'AMASC", car elles n'ont pas encore demandé officiellement leur adhésion : Le Liban, les Philippines et Porto Rico.

Quatre associations, le Costa Rica, la Hongrie, les Pays-Bas et le Brésil (signalés par 2 sur la carte) ont démissionné du conseil d'administration de l'AMASC.

Chaque association nationale a son propre mode de fonctionnementIl s'agit donc d'une forme d'organisation qui se justifie par son histoire ou sa culture, ce qui donne lieu à des configurations contrastées :

  • Certaines associations ne comptent que quelques dizaines de membres, parfois répartis dans de nombreuses régions comme le Brésil, alors que d'autres, au contraire, en comptent plusieurs centaines comme le Japon (600), ou des milliers comme l'Espagne (environ 4 000) ou les Etats-Unis-Canada (40 000). ), pour ces 3 derniers, une proportion importante des membres a moins de 40 ans (19 000 aux USA !).
  • Dans certains pays, il n'y a plus d'écoles du Sacré-Cœur depuis longtemps, comme aux Pays-Bas, en Allemagne ou au Brésil, ce qui pose le problème du renouvellement des associations d'anciens élèves. À l'inverse, les écoles sont encore nombreuses aux États-Unis (25), en Espagne (17), et il existe même une université du Sacré-Cœur au Japon.
  • Par ailleurs, lorsqu'une école possède sa propre association d'anciens élèves, elle n'est pas nécessairement rattachée à l'association nationale de son pays. C'est le cas, par exemple, en France, où les écoles accueillent près de 8 000 jeunes, ou en Grande-Bretagne où l'on compte près de 4 000 écoles.
  • Enfin, en général, les religieuses ne sont plus présentes dans leurs écoles. Mais lorsqu'elles vivent à proximité ou au sein de ces institutions, des liens se créent plus facilement avec les élèves ou les enseignants, favorisant leur sentiment d'appartenance à une même famille du Sacré-Cœur. C'est le cas en Autriche, en Espagne, en Egypte, en Irlande ...

Les activités des associations locales sont également très diverses.
Outre les traditionnelles réunions à l'occasion des journées d'amitié, des rencontres sportives ou culturelles, des fêtes de Mater ou de St Sophie Barat, les engagements des anciens dans leurs associations témoignent souvent de leur générosité.

  • En Espagne, par exemple, il existe un fonds d'aide aux personnes âgées en difficulté.
  • En Irlande, une Résidence Sophie Barat accueille d'anciens retraités dans des bungalows individuels.
  • En Argentine, le premier a ouvert et financé une école pour les enfants d'un quartier défavorisé de Buenos Aires : Villa Garden.
  • Les anciens Japonais, dans le cadre de leurs écoles, soutiennent le travail du rscj aux Philippines.
  • Les Égyptiens organisent des activités caritatives au profit des communautés de Haute-Égypte et subventionnent une école pour enfants handicapés à Héliopolis.
  • Les rscj d'Haïti sont aidés par les Américains.
  • Le centre spirituel de Joigny, situé dans la maison du fondateur du Sacré-Cœur, reçoit des dons de la ...

Enfin, dès qu'elles le peuvent, de nombreuses personnes âgées ont souvent à cœur de témoigner leur reconnaissance au rscj en leur faisant visiter leur maison de retraite ou en leur proposant leurs services...

Afin d'échanger entre elles, de partager leurs expériences et de mieux se connaître, nombre de ces associations nationales ont l'habitude de se rencontrer lors de réunions continentales dans l'intervalle des congrès mondiaux.